Série L’Adultère : (Partie 14) Sylvie : Oui ! Je Trompe Mon Mari Car J’En Ai Besoin.

Je m’appelle Sylvie, je suis une femme de 28 ans, mariée à Christophe depuis 4 ans avec lequel nous avons eu un . J’ai des formes qui font retourner certains hommes de mon entourage. J’ai des yeux marrons en amande et des cheveux longs et noirs. J’essaye d’entretenir mon corps tous les jours afin de rester le plus longtemps désirable et de plaire aux hommes.

J’ai toujours trompé mon mari. Les diverses religions que nous connaissons en Europe et particulièrement, dans notre pays, nous imposent à nous les femmes, d’être au service des hommes. Sans être une féministe jusqu’au bout des ongles, je me sens l’égale des mâles qui sont souvent machos, même dans la sexualité. Dans la société monogame actuelle, il faut être puritain, ce soi-disant « normal » nous empêche à tout, ce qui a trait au désir et au plaisir sexuel, autre qu’avec son conjoint. Je me considère donc, une femme libre aimant mon mari comme il se doit, mais libre également de vivre des moments intenses que je ne trouve pas dans mon couple.

Cela peut sembler choquant pour la majorité, mais je vis très bien en prenant beaucoup de plaisir dans mes relations extra-conjugales et tout va pour le mieux dans mon couple tant que mon mari, qui est un peu vieux jeu ne connaitra pas mes liaisons adultères. Il ne le comprendrait pas, c’est la raison pour laquelle, je ne lui ai jamais avouées. Je ne suis pas une salope pour autant, comme bien des personnes le pensent, mais une femme qui aime le sexe et que son mari ne peut satisfaire à lui tout seul.

D’ailleurs, je n’avais jamais rien caché à Christophe, il savait que je n’étais plus vierge depuis longtemps et il avait pu constater par lui-même, ce que je faisais lorsque nous baisions ensemble avant le mariage. Au début de notre union, il était parvenu à me satisfaire sexuellement mais très vite il s’épuisa, j’avais donc eu recours à d’autres partenaires pour calmer mes ardeurs sexuelles.

Ce fut mon mari lui-même qui mit le loup dans la bergerie en invitant trop souvent Laurent, son meilleur ami à la maison. C’était un beau célibataire qui couchait avec de nombreuses femmes. Dès le premier repas, il me fit discrètement les yeux doux puis de fil en aiguille, ses avances devenaient de plus en plus flagrantes. Je n’avais encore pas cédé car je n’en avais pas ressenti le besoin particulier, même si comme garçon, il m’attirait beaucoup.

Ce fut quelques mois plus tard que tout commença avec Laurent. Devant déménager, Christophe lui avait trouvé un appartement dans la maison voisine à notre immeuble. Un samedi matin, Christophe était parti à la pêche avec deux amis. Comme il devait se lever très tôt, il s’était couché de bonne heure en me laissant seule devant la télé, je n’avais donc pas été satisfaite. Le matin, je me préparais pour me doucher lorsque je m’aperçus que la vasque du lavabo ne s’évacuait pas. « Que faire ? » J’appelle Christophe qui ne voulait pas revenir pour ça, il m’expliqua ce qu’il fallait faire mais je n’avais rien compris :
— Écoute le mieux c’est que tu appelles Laurent, il doit être levé.

Encore une fois, sans le vouloir, mon mari me jetais dans les bras de son ami. Je ne savais pas encore mais lorsque le voisin si serviable était venu, il était en short et tee-shirt et moi prête à me doucher, j’avais enfilé juste un peignoir de bain. Mon bricoleur du dimanche m’avait demandé un seau et se plia comme il le put, dans l’espace réduit de notre petite salle de bain pour accéder au siphon. Il avait la tête dans le meuble et me demanda de venir voir, ce qu’il fallait faire le cas échéant.

J’étais à genouillée devant lui, je regardais ce qu’il fit mais il ne put s’empêcher de regarder ma poitrine. En effet, avec le peignoir presqu’ouvert, de par ma position, il avait tout le loisir d’admirer mes seins dans ce décolleté plus que provoquant. Je ne m’en étais pas rendu compte tout de suite, mais ce fut en nous relevant, lorsque je le vis une nouvelle fois regarder ma poitrine que je compris :
— Tu as des seins magnifiques.
Me dit-il.
— Excuse-moi Laurent. Lui répondis-je en essayant de refermer le peignoir.
— Non ! Ce n’est pas ton intention, je savais que tu me désirais. Je peux ?

Sans attendre la réponse, il prit mes mains m’empêchant de le faire. Au contraire, il écarta le tissu admirant le spectacle. Il me caressait déjà les deux seins, je ne fis rien pour l’en empêcher, je le pris par le cou et nous nous étions embrassés. Le baiser s’éternisait, Laurent avait passé ses mains à l’intérieur du peignoir et les avait posées sur mes fesses m’attirant le plus possible contre son sexe. Je ressentais la bosse dans son short qui prenait forme. Il lâcha une main pour la passer sur mon sein dont le téton était dur et érigé. Il le pinça assez fortement ce qui me fit gémir de plaisir.

Laurent voulait me regarder, m’admirer, il interrompit notre étreinte et me retira le seul vêtement que j’avais et revint se positionner devant moi me poussant contre le mur carrelé de la salle d’eau. Il me reprit dans ses bras et m’embrassa une nouvelle fois. Il passa sa main sur mon intimité, et caressait mes grandes lèvres et la vulve. Il sentit tout de suite que je mouillais fortement, ses doigts étaient plein de cyprine, il me les fit sucer et recommença :
— Tu aimes ça dis-moi ? Je le savais dès que je t’ai vu la première fois. Depuis, je suis très attiré, tu me fais bander
— Oui Laurent, j’aime ! Toi aussi tu me fais mouiller salaud.

Il avait sorti sa bite puis prit ma main pour que je le branle un peu, que je m’habitue à sa queue puissante, il était en totale érection. Je fus heureuse de la connaitre, elle avait les dimensions idéales pour moi, il était un peu mieux monté que Christophe et ça me plut. J’avais trouvé une belle queue et très dure, « une vraie batte de baseball » Pensais-je.

Je le caressais, passais mes doigts sur le gland décalotté et du bout de mes phalange, j’essuyais les gouttes qui perlait de son méat, Laurent était aux anges, il n’en revenait pas, j’étais déjà une experte en la matière, je savais ce que les hommes aimaient.
Tandis qu’il me fouillait, il s’était aperçu que je n’étais plus vierge du côté défendu, ses longs doigts me masturbaient, entrant et sortant de ma vulve de plus en plus trempée. Mais il était temps, il fallait qu’il me baise, il ne pouvait plus attendre, sinon il éjaculerait entre mes doigts qui cajolait son pénis. Il baissa son short, passa ses mains sous mes cuisses pour me relever à la bonne hauteur :
— T’as des capotes ?

J’en avais dans un petit tiroir, il tendit son bras se servit puis il plaça son gland gonflé à bloc à l’entrée de mon anus déjà dilaté par son doigté efficace, puis poussa légèrement, il n’avait pénétré que la moitié de cette énorme fraise puis un peu plus :
— Ohhh !!! Couinais-je, j’avais un peu mal vu la grosseur de la bite de mon voisin.
— Attention je pousse. Dit-il en prenant des précautions.
— Oui !!! Vas-y, j’aime comme ça.

J’étais bien décidée d’y parvenir, je poussai en même temps que lui, c’était enfin rentré et que cela fut bon de ressentir sa grosse bite au fond de mon rectum. Longtemps, très longtemps Laurent entrait et ressortait de mon cul, toute la longueur pénétrait désormais à l’intérieur de mes entrailles. Il ressortait entièrement dans un bruit de sucions, puis me perforait de nouveau jusqu’à la garde. J’étais trop contente, je prenais énormément de plaisir avec cet homme s’y bien monté. Sans jouir vraiment, c’était que du bonheur pour moi qui n’en espérait pas tant. Et que dire lorsqu’il était ressorti en me demandant de m’agenouiller. Je lui enlevai le préservatif je savais pourquoi, j’avais hâte de boire sa liqueur que j’imaginais douce et légèrement salée :
— Je vais éjaculer dans ta bouche Sylvie. Me dit-il pensant que je n’accepterais pas.
— Oui j’aime ça ! Répondis-je en ouvrant la bouche et en tirant la langue.

Ces jets furent si puissants qu’il éjacula partout, j’en avais sur mes dents et plein le visage, il n’arrêtait pas de gicler, il se vidait entièrement les couilles.
Voyant que je m’étais fini en me masturbant, il me dit :
— Excuse-moi, je n’ai pas été à la hauteur, je vois.
— Ce n’est rien, c’était trop court. Viens prenons la douche ensemble. Tu pourras te rattr.

Sous l’eau tiède, après de nouveaux baisers, des caresses érotiques puis une belle fellation, lui redonnèrent toute sa puissance et moi j’avais pris un nouvel orgasme, lorsqu’il m’avait pénétrée à quatre pattes dans la baignoire. Il remit son short, refit le siphon bouché, tout heureux de m’avoir possédée me disant sans détour :
— Sylvie tu es bonne, j’espère que l’on va encore s’amuser ensemble.
— Toi aussi tu es un bon coup mais tu sais très bien que je suis mariée à ton meilleur ami.
— Nous ne sommes pas obligés de lui dire. Tu ne crois pas ?
— Il nous faudra être très prudent, je ne tiens pas du tout à ce qu’il le sache. Moi aussi je veux que nous poursuivions.

Au début de notre aventure, nous nous voyions tous les mercredis après-midi, puis très vite nous en voulions plus. Nous sommes donc passés à deux puis à trois fois par semaine, suivant nos disponibilités et celles de Christophe, nous prenions une heure de bon temps, Laurent était devenu mon premier amant et l’est encore aujourd’hui. En effet, je n’avais pas voulu cela, mais depuis, nous nous aimons vraiment. Je le laissais baiser d’autres femmes pour son besoin mais j’en étais jalouse. Je m’étais retrouvée avec deux hommes que j’aimais autant l’un que l’autre. Aujourd’hui, je suis donc comblée en amour et ma sexualité est assouvie et épanouie. Ce qui ne m’avait pas empêché de prendre d’autres amants occasionnels lorsque l’occasion s’était présentée.

Ça fait plus de cinq ans que je vis comme cela, je voudrais tant que nous fassions ménage à trois car Laurent est très souvent avec nous mais je ne peux pas l’approcher ou l’embrasser lorsque Christophe est présent, je suis obligé de le faire dès qu’il se trouve dans une autre pièce, cette situation est très dangereuse mais tellement excitante. Laurent voulait lui en parler mais pour le moment je me refuse à le faire car j’ai peur de perdre mon mari et peut-être les deux.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Bisous.


Si comme Sylvie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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